Le Château de la Montchevalleraie

Dès l’arrivée, l’élégant reflet du château dans la pièce d’eau, nous ramène au 18^ème siècle.

Peut-être les propriétaires du siècle des lumières se sont-ils absentés quelques instants ? À l’intérieur, la salle à manger, le salon, les chambres et la cuisine sont comme cristallisées en des temps anciens. Tout est raffinement et volupté. Les tableaux, lustres, bougeoirs et autres bibelots ont chacun une histoire que le propriétaire saura vous conter.

Une promenade à l’extérieur dans le parc à l’anglaise et sa roseraie prolonge la visite.

Le jardin abrite une collection de végétaux remarquable : séquoias, platanes, mélèzes, marronniers à fleurs, tulipiers de Virginie, chênes verts, catalpas, pins sylvestres, cèdres de l’Himalaya, rosiers, arbres fruitiers… Ici tout est fait dans une démarche éco-responsable afin de préserver la biodiversité et réduire la consommation d’eau.

Depuis peu, le jardin de la Montchevalleraie abrite 7 œuvres monumentales.

Le sculpteur Segréen Jimmix, bien connu pour ses créations monumentales exposées au Hellfest de Clisson, s’est employé à rendre beaux des arbres malades, il leur a redonné vie en les transformant en de véritables œuvres d’art. « Une confrontation artistique entre les lignes classiques de l’architecture d’une demeure angevine du 18eme siècle et des œuvres végétales du 21^eme siècle » Christian de Boulmant-Nomballais.

Les visiteurs qui le souhaitent peuvent séjourner dans l’une des chambres d’hôtes, à l’étage de la demeure, pour prolonger cette balade dans le temps au château de la Montchevalleraie.